John Cale - Paris 1919
Nick Cave - Hey Joe
The Travelling Wilburys - Handle with Care
Eric Clapton & Bob Dylan - Crossroads
Annie Lennox, Bowie & Queen - Under Pressure
Tom Waits - Tom Traubert's Blues
"Schönheit gibt es nur im Kampf"
Le gouvernement a construit un système où le parti dominant génère son opposition en son propre sein, leucocytes factices, contestataires de pacotille, l’agitant un peu pour faire comme si au 20h, et la digérant instantanément... A l’heure du Tout Communicant, on se retrouve souvent en pleine cacophonie formatée, et surtout, paradoxalement, orchestrée.
Le renforcement du pouvoir (économique, médiatique, politique) rendu possible par l'élection de Sarközy de Nagy-Bocsa n'est que la conclusion logique de la déconfiture du paysage politique depuis 25 ans et notamment de la fin de l'illusion mitterrandiste : Marie-Ségolène Royal et le PS incarnerait une vraie alternative dans ce pays ? Cette gauche ne s'offusque pratiquement sur rien de ce que fait le gouvernement parce que ce qu'elle n'approuve pas, ce ne sont pas les réformes mises en oeuvre mais la méthode. C'est la seule chose qu'elle désapprouve mollement de ce gouvernement. Impressionnant. Avec le débauchage de toute cette gauche cynico-caviar qui nous gonfle depuis tant d’années, celle-ci n'a même plus honte maintenant d'avouer franchement, en répondant au geste tendu de Sarkozy, qu'elle n'a plus de conviction profonde que la poursuite de sa propre carrière dans les hautes sphères du pouvoir. Quelle fine invention que cette notion de gouvernement d’ouverture ! On se demande bien qui se fait élargir, au final. Vous avez trouvé ? Bravo. Pas trop douloureux ?
Conscience de la finance comme ultime gouvernance subliminale. Arme de paupérisation massive. Fléau mondial. Il semble clair que la machine s'emballe. Au macroscope: l'envol de l'Euro (ou les Etats-Unis qui pètent les plombs, ou encore le grand méchant marché asiatique), les charges des ménages (aussi plombées que l’eau du robinet), la valeur travail qui se peau-de-chagrinise, l'endettement (vie et mort à crédit) bien étalé dans le canal lombaire, les corollaires du découragement prennent le périph’ du facile, du people, du tout se vaut, du tout se monnaye. Ce n'est pas la Boîte de Pandore c'est déjà du décor, de la parade, du spectacle de volonté mais surtout du Spectacle. On commence par la pensée, puis les acquis sociaux, par démonter ce qui peut éventuellement en rester (basta 68, au pilon les 35 heures, enregistrez vos rêves puis détruisez leurs séquelles, travaillez plus pour dépenser plus en achetant de la merde, mettez des podiums et des spots ça rappellera le grand soir) ; le sens expire, l’expression prime, comme le chantait Marquis de Sade. Et vivement le prochain Doc Gynéco avec Mosey à la
prod’, qu’on s’éclate sur du putain de bon son...
Alors quand on nous dit que la politique est un métier et que dans le même temps, on s'époumone contre les cheminots, les fonctionnaires (ou encore vous et moi ?) parce qu'ils ne défendraient que leurs intérêts particuliers, je me gausse : il y a maintenant bien longtemps que les politiques dans leur ensemble ne suivent que la courbe de leurs intérêts particuliers, à savoir leur foutue carrière, au détriment du plus grand nombre tout en feignant d'agir pour le bien commun. Prenons un exemple au hasard : Montebourg. Est-il crédible plus de deux secondes ? Et l'immonde de Panafieu, qui croit-elle tromper ? Simplement avec Sarkozy, ça devient de plus en plus clair même pour le péquin moyen. Mais tant qu’il lui reste les slogans, les refrains,
Zebda et les merguez, il est content le quidam qui manifeste, non ?
Et que dire d'étudiants en grève ou d’associations veules chez qui l'ânonnement pavlovien de vieux slogans semble tenir lieu de réflexion ? De la rouille crasse enrayant leurs cerveaux ? Leurs poses de rebelles masquent mal un conformisme béat lorsqu'ils récitent un catéchisme (cathétérisme ?) gauchiste et désuet leur ôtant le fardeau d’avoir à penser, voire réfléchir, par eux-mêmes. La bêtise intrinsèque de leurs exposés fait surtout frémir quand on pense qu'un ou deux parmi eux finira bien sénateur PS ; et c’est bien là l’essentiel, à priori. Ouf, nous voilà rassurés pour eux. Un bien triste renoncement aux idéaux de la jeunesse et à son essence imprévisible et révolutionnaire.
Alors arrêter les cycles infernaux, servilement, stérilement électoraux. Se peut-il qu'une société soit réellement humaine et collective (des gens qui crèvent en bas de chez moi, des bébés en rétention administrative !), des idées plus grandes peuvent-elle encore contenir l'irréel puis le réel, peut être faut-il sauver l'individu (seul devant l'univers, universel, irrépressible, inaliénable) sauver la conscience de l'individu, sauver l'intelligence pour bâtir une société, puis du
social, et des paroles en circulation qui (re)deviendraient politiques du coup.
Sauver l'utopie, sauver le simplisme complexe, lire et relire Bourdieu et Deleuze, dépoussiérer Artaud, Debord et Dada (et peut-être même Breton). La révolution ne peut plus être que surréaliste, elle ne peut que grimper sur la réalité, s’en extirper pour la surplomber, la toiser et la tirer enfin – qui sait ? – vers le haut...
Rêvons.
Le hasard, les coïncidences, c’est quand même quelque chose, hein ! La très subjective et néanmoins très troublante impression de se retrouver télescopé tout d’un coup en pleine science-fiction, la Quatrième Dimension au coin de la rue.
Il ne m’est rien arrivé de bien grandiose, mais je raconte cependant ; voilà, ça doit bien faire une heure que je vaque chez moi à des tâches pas très palpitantes, genre lessive-vaisselle-etc., tout en écoutant Elli et Jacno (Je t’aime tant, le Téléphone, tout ça... bref j’aime beaucoup) quand soudain je m’aperçois qu’il faut que je rush pour aller acheter des clopes, sinon ça va être la galère. Je me retrouve donc dans la rue en direction du bureau de tabac, et là, paf !
Je tombe sur Jacno !!!
Bien sûr, je ne peux m’empêcher de lui narrer l’anecdote, passablement mort de rire et stupéfait ; on se marre, on se serre la pince.
Voilà, c’est tout. Je sais, ce n’est pas 2001 Odyssée de l’Espace, mais je ressentais réellement le besoin de relater ce petit fait qui, à lui seul, a transfiguré cette morne fin de dimanche gris, pluvieux et maussade.
La prochaine fois, j'essayerai avec New Order, pour voir... on sait jamais.
A Londres, la décision a été aussi brutale qu'inattendue. L'exposition, montée par le Centre Pompidou, avait été présentée à Paris, au printemps, puis à Munich. En arrivant à Londres, la commissaire de l'exposition, Agnès de la Beaumelle, a constaté que les surfaces prévues pour l'accrochage étaient insuffisantes. Elle a donc procédé à un premier tri. "Ce sont des choses qui arrivent lors des itinérances d'exposition", explique-t-elle.
Mais le 19 septembre, à la veille du vernissage, la directrice de l'établissement, Iwona Blazwick, prit cette fois une mesure "réellement grave", estime Mme de la Beaumelle. "De sa seule autorité et en dépit de mes protestations, elle a décroché une dizaine d'oeuvres. Elle les trouvait "sulfureuses" et a clairement évoqué, outre des ligues antipédophiles, le fait qu'il aurait été dangereux de les exposer à la Whitechapel, étant donné que le quartier abrite des populations musulmanes." Les tableaux figuraient pourtant au catalogue de l'exposition. La directrice ne pouvait invoquer la surprise. Personne ne lui avait intimé la moindre consigne, aucune menace n'avait été proférée. La commissaire s'estime donc "clairement confrontée à un cas d'autocensure".
Deux des collectionneurs qui avaient prêté les oeuvres ont déjà réagi. La galeriste parisienne Natalie Seroussi, qui a découvert les faits lors du vernissage, juge "inadmissible qu'une communauté quelle qu'elle soit ait le pouvoir de censure sur le travail de la directrice d'un musée et de son conservateur". Elle dénonce une mesure "indigne d'une société démocratique (...), indigne d'un auteur comme Bellmer, dont l'oeuvre est explicitement érotique". Comme elle, Marcel Fleiss, directeur de la Galerie 1900-2000, a fait part de sa colère au musée. Cinq des douze oeuvres qu'il avait prêtées ont été écartées. "Si ces oeuvres ne réintègrent pas les cimaises de l'exposition", prévient-il, il retirera l'ensemble de ses prêts. Contactée par Le Monde, la direction de la Whitechapel assure n'avoir répondu qu'à un problème d'encombrement des salles.
Avec la mise à l'écart d'oeuvres qui ne relèvent pas directement de la représentation religieuse, la polémique franchit un nouveau pas, une semaine après l'autocensure d'Idoménée, en Allemagne. Invoquant le principe de précaution, la direction du Deutsche Oper, l'une des trois scènes lyriques de Berlin, avait décidé, le 25 septembre, de déprogrammer l'opéra de Mozart en invoquant "la sécurité du public et des collaborateurs de l'opéra" (Le Monde du 28 septembre). Dans la scène finale, librement adaptée, Idoménée, le roi de Crète, brandissait les têtes de Poséidon, Jésus, Bouddha et Mahomet. Aucune menace n'avait été adressée. La police régionale avait juste mis en garde l'opéra contre d'éventuelles réactions de musulmans qui auraient pu se sentir offensés.
"BURGER MOLLAH"
Mardi 3 octobre, la chancelière Angela Merkel a dénoncé les "blocages mentaux inutiles dans le domaine de la liberté d'expression". "C'est comme si on hissait le drapeau blanc avant qu'une quelconque menace n'ait fait son apparition." La directrice du Deutsche Oper, Kirsten Harms, qui a affirmé qu'elle était prête à représenter la pièce si la sécurité était assurée, a toutefois reçu le soutien de l'évêque Wolfgang Huber, président du conseil de l'Eglise évangélique allemande.
Le débat est d'autant plus sensible en Allemagne que plusieurs affaires du même type sont apparues depuis la polémique sur les caricatures de Mahomet, il y a un an. En février, lors de la saison des carnavals, les organisateurs ont prié les participants de ne pas exhiber de satires de l'islam. En 2004, par exemple, un char du défilé de Düsseldorf avait représenté un ayatollah coincé dans un hamburger géant baptisé "Burger Mollah de chez McBush". "Nous ne voulons mettre personne en danger", s'est justifié Peter König, le président du comité du carnaval de Düsseldorf.
A la même période, toujours à Düsseldorf, une sculpture représentant une mosquée flanquée de deux minarets en forme de fusée a été retirée d'une exposition à l'Académie des arts. Baptisée Agression, cette oeuvre avait provoqué une manifestation pacifique de 2 000 musulmans. La sculptrice elle-même, une étudiante suisse en art, Fleur Boecklin, en avait demandé le retrait. Le directeur de l'Académie, Peter Lynen, avait défendu la sculpture, estimant qu'"une jeune artiste doit pouvoir se saisir d'un thème d'une telle actualité".
L'Espagne a elle aussi été touchée par cette épidémie d'autocensure. De nombreuses communes commémorent chaque année la reconquête de la péninsule Ibérique (achevée 1492) par des simulacres de batailles opposant "maures" et "chrétiens", ou par des défilés costumés. Près de Valence, il est de coutume de clore les festivités par la destruction d'une figurine géante censée représenter Mahomet.
A Beneixama (1 800 habitants), on faisait jusqu'à présent éclater la tête du Prophète avec des pétards. Le 15 septembre, la municipalité a renoncé à ce finale. Sans vouloir s'étendre sur le sujet, le maire, Antonio Valdes, a fait valoir que son équipe avait voulu éviter de "blesser la sensibilité de quelques personnes". En février, une autre commune, Bocairent, avait pris la même mesure. La plupart des autres municipalités avaient arrêté ces pratiques, à la demande de l'Eglise, après Vatican II. C'était il y a quarante ans.
Philippe Dagen et Nathaniel Herzberg, avec Cécile Chambraud (à Madrid) et Antoine Jacob (à Berlin)
Charlotte : [Nom féminin] Gateau à base de fruit, de biscuit et de crème. • Chanson extraordinaire des Young Gods.
Cuistre : [Nom masculin] Grosse pédale Pédant mal élevé. [Ex : Frédéric Beigbeder, Marc-Olivier Fogiel, Laurent Ruquier, Daniel Schneidermann, etc.]
Daube : [Nom féminin] Manière de cuire certaines viandes à l'étouffé. • La viande ainsi préparée. [Familier] Inexistant, insignifiant. [Ex : Vincent Delerm, Noir Désir, U2...]
Louvoyer : [Verbe intransitif] Naviguer en zigzag contre le vent. • [Sens figuré] Prendre des détours pour arriver à son but. • Verbe qu'Elsa et JFred essayent de placer à tout bout de champ.
Situationnisme : [Nom masculin] Mouvement intellectuel révolutionnaire apparu dans les années 60, totalement inutile, donc parfaitement indispensable.
Techno : [Préfixe] Préfixe utilisé pour signifier "métier", "procédé". [Nom féminin] Style de musique de danse électronique caractérisée par la répétition systématique et régulière d'une pulsation, à des fins généralement putrides et commerciales, comme tous les courants musicaux révolutionnaires qui ont trop duré [Ex : Fat Boy Slim, Moby, etc.]
Usine : [Nom féminin] Etablissement industriel de transformation de matières premières en produits finis ou semi-finis. • Etablissement industriel produisant de l'énergie. [Sens figuré] Lieu où règne une intense activité.
In Memoriam.
///Work.in.Progress?///
Sommes-nous le souvenir ?
Petit à petit la migration s’opère, tranquille, laborieuse, sereine, comme sur des rails, presque (non, non, pas ces rails-là). Dans mes labyrinthes, dans ma vie. En vrai / en faux. In vitro / in vivo. Faudrait moins de musique et plus de jolies filles. Plus de peinture, de cinéma, de littérature ; mais ces domaines sont trop chers à mon cœur, trop "sérieux" [in a manner of speaking]. J’ai peut-être déjà une douzaine de notes prêtes sur ces divers sujets, sur des œuvres, des courants ou des artistes que j’aime ou que je déteste. Mais ce n’est pas comme la musique, les zanimos poilus et les filles à poil[s] ou encore l’actualité anecdotique du moment : je n’arrive pas à finaliser ; ou plus précisément ça ne me satisfait pas, jamais ; ou alors seulement temporairement. Je prends ça trop au "sérieux", je me prends trop au sérieux, et ça je le vis mal. Je retouche sans cesse, c’est pénible. C’en est désolant. Boulesque, même. Je me sens mal sans second degré, sans dérision. Je veux continuer à croire éternellement que l'on peut rire de tout, c'est pour moi du domaine de l'hygiène.
Et puis [de l'autre côté du miroir] il y a la campagne, le soleil, la douceur de Vivre [influences [?] de ma chérie, de mon âge, de mon quartier crasseux, de ma lassitude à l’égard de bien des choses, l’irruption du bienheureux et rural filou en contrepoint, dernièrement…] mes souvenirs en forme de réminiscences sensuelles / sensorielles / sensationnelles, envie[s] de Bretagne, de Champagne, de Saintes, de Rémuzat, de Pays-Bas, d’océan[s]. Waiting for the Siren’s Call in the Ocean Rain. Enfin pour le moment je suis plus krafty qu’autre chose, et je ne vais tout de même pas m’en plaindre, il s’agirait de ne pas cracher dans la soupe [sound system]. Même si I'm Waiting for the Man [26$ in my hand] un petit peu en ce moment, aussi.
Sommes nous de connivence ?
Alors donc, il faudrait régurgiter, jouer avec son caca comme pleins de bloguleux-exhibitionnistes ? Mouais, bof...
J'ai commandé décommandé de mes yeux la Prunelle, 2005 pas cool du tout, du tout. Encore le droit à l'horreur l'erreur, une fausse thérapie [fausseté, rapine] mais c'était la dernière fois. Promis [à moi-même]. Crashée.
Exorciser, me réapproprier mes cartographies, du tendre, du fantasme et du réel, les nettoyer des scories. Ne pas saloper à nouveau après avoir passé le balai, tout de même ! Note pour plus tard : aller au Portugal, aussi (c'est le balai qui m'y a fait penser, ha ha !). 11YearsOfStatic, le droit à l'erreur ça suffit. Comme beaucoup d’autres bloguleux je suppose, j’écris pour moi, presque uniquement, mais le fait de jouer à la mise en perspective on-line, le regard d’autrui [ô truies...] ça me pousse au derche, ça fait parfois se concrétiser les choses d’elles-mêmes, dans la [prise de] décision de leur [accorder une] existence propre, dans leur énergie [haine = erre, git] objectale, alchimie, synergie qui s'opère, en moi et en dehors de moi, autour de moi et parfois plus loin, voire très loin.
Approche heideggérienne du blog. Non, pas Heidegger, non… Bashung plutôt. Je suis trop bashunguien, voilà c’est ça. Pas au niveau talent, hein, c’est pas ce que je veux dire, pas du tout. Plutôt rapport au caractère, à l’arôme, à l’ambiance ; et puis bien plus prosaïquement c’est rapport à mon passé. Celui d'avant. Le [majestueux] Lac d'Indifférence.
Sommes-nous des gonzesses ?
L’oublier, juste l’oublier. S'étendre et ne plus [l’] entendre, comme l’un des trois petits singes, devenir égoïste, comme Wlfrd en a si bien parlé lui aussi en son temps [archives avril - juillet 2005 environ], être beaucoup plus parcimonieux avec le respect que j’accorde aux autres aussi, bien sûr. Ton blog m’a tellement aidé, Wil, sincèrement. Sans que l’on ne se revoit «en vrai» une seule fois… Si c’est pas du sujet de philo[xera] ça !
Perdu des choses en chemin, du temps, des gens, pas mal de temps, pas mal de gens... et alors ? Postulat : il faut savoir donner pour recevoir, perdre un peu pour gagner plus, ça s’appelle de l’investissement, quand on a le cerveau tourné comme un sac à merde [j’en ai croisé pas mal récemment dans ma vie, de ces gens-là ; je les ai perdus eux aussi, et je ne les regrette pas, oh non bien sûr : ils m’ont ouvert le cul, puis ensuite les yeux… merci tout de même]. Je fais ma micro-crise mystique, je vais retourner parler aux arbres, aux chats, aux gens.
[Et aller de l’avant. "En avant la zizique". En avant. En navrant. Enivrant. Faut y aller. Allons-y, Alonso. Alité à l'idée d'aller, hâlé sous les alizés, à l'aise dans les allées d'azalées. Alizée Hallyday Holiday Olida Au Lido Dalida Derrida.]
Allez, une Heineken bien méritée, et un p’tit coup d’Ecrits Politiques. Bière et orfèvrerie pop, c'est bonheur. Faut bien que je compense, j'aime pas le futbol. Et Fuck la vie des morts. L'avis des morts-vivants. Des trucs d'avant.
Bonne nuitée, fantômes, gens, animos et [choses à venir]. Et Sophie Davant aussi, tiens, tant qu'à faire.
///ForEver,Now///
Then I got my first goodbye
I didn't know what hit me 'til I felt the tears in my eyes
I was sure that you loved me
Only goes to show how wrong a heart can be
They played a song that took me back, girl
I closed my eyes and we were there in John Frost Square
It's only now that I realise, girl
I threw away my one true love
I watched us standing at the station
And you were cold and oh you cried, how I lied
I told you then I didn't need you, girl
'Cause I was cool and on my way
Then I got my first goodbye
I didn't know what hit me 'til I felt the tears in my eyes
I was sure that you loved me
Only goes to show how wrong a heart can be
And then I put my past behind me
And life was good and times were high, and I could fly
Even then a voice would find me
And say your name, and ask me why
And so in time I tried to find you
I sent a message care of Sarah, and you were there and said:
"I was time you put behind you"
And now you're happy and so in love
Then I got my first goodbye
I didn't know what hit me 'til I felt the tears in my eyes
I was sure that you loved me
Only goes to show how wrong a heart can be
It's only now I realise, girl
Ooh yeah
Then I got my first goodbye
I didn't know what hit me 'til I felt the tears in my eyes
In my eyes (in my eyes)
In my eyes (ooh baby)
In my eyes (you made me cry)
In my eyes
Then I got my first goodbye
I didn't know what hit me 'til I felt the tears in my eyes
I was sure that you loved me
Only goes to show how wrong a heart can be.